Asie-Pacifique

L’ISP exprime sa solidarité envers les familles des membres de la communauté LGBTI assassiné(e)s ou blessé(e)s lors de l’attaque dans la discothèque Pulse à Orlando, le 12 juin dernier. Le bilan de cette fusillade de masse, considérée comme la plus meurtrière de toute l’histoire des Etats-Unis, s’élève à 50 morts et 53 blessés.

Rosa Pavanelli, la Secrétaire générale de l’Internationale des Services Publics (ISP), s’est adressée aux participant(e)s de la 105e Conférence internationale du Travail, qui s’est tenue à Genève ce lundi 6 juin 2016.

Le compte à rebours jusqu’à Habitat III – la conférence des Nations Unies qui définira de nouvelles normes en matière de politiques urbaines – a commencé. La « conférence des Nations unies sur le logement et le développement urbain durable » – tel est son nom officiel – se déroulera du 17 au 20 octobre 2016 à Quito, en Equateur.

L’ISP a lancé un bulletin d’information bimensuel – Privatization Watch – qui réunit des informations du monde entier sur la privatisation dans les domaines de l’eau, de la santé, de l’énergie, de l’éducation, des services municipaux et autres services prestés par l’Etat, des PPP et autres questions connexes. Merci de remplir la petite enquête ci-dessous pour nous aider à améliorer ce bulletin et à l’adapter à vos besoins.

L’homophobie ou la transphobie, sous n’importe quelle forme, est préjudiciable et met même la vie en danger. Nous sommes solidaires avec les travailleurs LGBTI, et dénonçons toute forme de marginalisation et stigmatisation liée à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre.

Que pouvons-nous célébrer en cette Journée internationale des travailleurs quand, aux quatre coins du monde, nous devons faire face – dans une plus ou moins grande mesure – à la précarisation de l’emploi, à la sous-traitance, à la privatisation, aux coupes budgétaires, à l’augmentation de l’âge de départ à la retraite et à la hausse des cotisations de retraite ? Quand tout ce que souhaitent les gouvernements, c’est de faciliter les licenciements ou nous priver de notre droit à la liberté syndicale et de notre droit de grève ?