Bien que l’Algérie ait ratifié la Convention 87 de l’OIT et que l’Article 53 de la loi algérienne (90-14, 2 juin 1990) déclare « qu’aucun délégué syndical ne peut être licencié ou transféré par son employeur, et aucune action disciplinaire ne peut être prise en conséquence de ses activités syndicales, » depuis des années, les syndicalistes algériens sont harcelés, menacés et arrêtés en raison de leurs de activités syndicales qui sont légitimes.
L’ISP et ses affiliés CGATA et SNAPAP continuent de faire pression sur le gouvernement algérien et faire campagne pour faire respecter le droit aux activités syndicales légitimes, stopper la criminalisation des dirigeants syndicaux, des activistes et autre voix dissidentes dans le pays.