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En Algérie, l'urgence sociale de l'après élection

16 Avril 2014
Un manifestant tient une pancarte sur laquelle est écrit « Dégage Boutef » (Abdelaziz Bouteflika) durant une manifestation appelant au boycott de l’élection présidentielle algérienne à Bejaia, le 5 avril 2014. (AP Photo/Sidali Djarboub)

Cet article a été publié sur le site web d'Equal Times le 15 avril 2014.

L’élection présidentielle algérienne du 17 avril semble verrouillée d’avance en faveur du président sortant Abdelaziz Bouteflika, qui brigue un quatrième mandat malgré un état de santé fragile qui paralyse les institutions du pays.  

La décision du chef de l’État a entraîné une vague de contestations inédite dans le pays, illustrée par le mouvement « Barakat » (ça suffit) et d’autres initiatives issues de la société civile, mais également par les syndicats autonomes algériens qui tentent de mobiliser les travailleurs du pays en dépit des menaces dont ils sont victimes.  

Selon Rachid Malaoui, président du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) :  

« L’enjeu ce n’est pas le résultat de l’élection, c’est une mascarade. Le pouvoir, qui tire les ficelles de cette élection, devra accepter un changement pacifique et démocratique. Nous sommes mobilisés sur le terrain pour faire entendre le ras-le-bol de la population et l’urgence criante d’un véritable projet à long terme. »

Voir l'article sur le site web d'Equal Times

 

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